Gérard Porcher

 Gérard Porcher

Un auteur Lissois inspiré

Qui suis-je.

Je suis un auteur Lissois, ancien coureur cycliste, ancien maire-adjoint de la ville de Lisses et surtout passionné de polar.

Je suis marié (ma femme est mexicaine) nous avons  eu 4 enfants. Actuellement nous avons 3 petites filles qui sont notre fierté et qui occupe beaucoup notre emploie du temps.

L’envie d’écrire. 

J’ai dirigé des cuisines centrales où je manageai environ 200 agents pendant 37 années, cela faisait beaucoup de travail. Quand je suis parti en retraite, je me suis trouvé sans occupation, sans activité : cela a été pour moi une grosse déprime. Ma fille me voyant mal, me dit : « dans ton travail tu écrivais beaucoup de rapports, alors pourquoi ne pas écrire des livres ? ». Cela a été un déclic dans ma tête et je me suis mis à l’ouvrage.

Mon inspiration

L’inspiration me vient naturellement,  un fait divers, des infos des médias et hop me voilà parti dans les méandres de ma plume légère. J’écris à l’instinct, comme ça vient. Et avec l’influence de certains auteurs que j’aime lire comme : F.Thilliez, Fred Vargas et J.c Grangé l’inspiration est facile.

Le sujet de mes écrits

J’écris aussi bien du polar que des poèmes. Les polars se situes toujours dans des lieux que je connais (Lisses, Evry, Mennecy, la Bretagne, le Mont St Michel) Les poèmes sont sur ma femme, mes petites filles, sur l’amour que je transpose en musique. J’ai même écris un livre sur la révolution mexicaine, j’y ai mis deux ans. Des discussions avec des professeurs mexicains, des recherches sur internet et la lecture de livres spécialisés sur le Mexique, travail concluant car j’ai eu les éloges d’un professeur de Français à l’université de Mexico.

Mes écrits à venir

J’ai un projet sur Jean Ferrat, un livre sur ma vie professionnelle (les microbes et le piano). Et j’ai trois polars en cours.

Mon actualité

Mon actualité se consacre à assister à deux salons, celui de Mennecy (en Février) dont je suis un habitué. Et celui d’Echarcon (en Octobre) qui sera le deuxième salon.

Le temps me manque pour en faire plus, mes petites filles m’en prennent beaucoup.