Festival Culturel "Plumes en Fêtes " à Lisses

       Sylvie Nicollet

                                                                                                                                                                 A su captivé l'attention et faire germer des productions d'écrits

En faisat créer des personnages couchés sur le papier, en les animants sous la forme de minis scénarios de théatres de marionettes couchés sur papier.

Guillaume Delatour

A partager avec quelques enfants des astuces de dessins, et répondu a leurs diverses questions.

Guillaume Delatour

A Animé un atelier Illustration et BD pour les efants présents

Et nous a aider à remettre les prix aux lauréats du concours d'illustration

 1er prix Johanna Wilmouth  -   3ème Prix Loris Sicard   -  2ème prix

    Emmanuel MALOT

 Toutes nos condoléances à sa femme et ses proches.

Nous sommes de tout coeur avec vous.

   Auteur BD

 Alias Malotruf

Site : malotruf.jimdo.com <http://malotruf.jimdo.com>

https://www.linkedin.com/in/emmanuel-malot-b3415579

Auteur BD chez YIL édition : http://yil-edition.com Facebook : fb.me/malotrufAuteurBD

Emmanuel MALOT Alias Malotruf

Auteur BD chez YIL ÉDITION (scénariste, dessinateur et coloriste)

https://www.linkedin.com/in/emmanuel-malot-b3415579

Auteur BD chez YIL édition :

http://yil-edition.com

BIOGRAPHIE :

Né durant les évènements de 1968 je suis passionné d’astronomie, de science fiction et bandes dessinées depuis ma plus tendre enfance. Baigné dans la culture « Marvel » j’ai intégré l’école Estienne qui proposait la formation la plus proche de mes ambitions.

Titulaire d’un diplôme d’architecte DPLG avec un projet de colonisation de la planète Mars, j’ai développé sur vingt ans une expérience professionnelle autour du logement individuel, de l’évènementiel et de l’aménagement de magasins, qui m’a permis d’acquérir des connaissances en rendu informatique 2D et 3D ainsi qu’en retouche d’image.

En invalidité depuis fin 2012, je consacre cette période d’inactivité forcée pour concilier mes rêves d’enfance au travers de « la création de BD ».

BIBLIOGRAPHIE

A ce jour, je suis l'auteur de cinq ouvrages dont un sixième en cours pour début 2020.

  DOeux en auto-édition chez BoD (Book on Demand) :

- BD intitulée "Contes des 1001 vies - 7 destins"​ 2013 ISBN : 9782322033942. Qui regroupe des histoires courtes réalisées à mon adolescence et réactualisées en 2013.

- Livre illustré "L'essentiel du zizi - pour les ados"​ 2013 ISBN : 9782322034123. Initialement à destination de mes neveux, il donne les principales clés sur la sexualité aux adolescents par un regard autre que la pornographie.

Trois en édition classique chez YIL édition

T1 : la légende des trois amants 2016

T2 : Le souffle du démon 2017

T3 : Wal-Ham, origines d’une sorcière 2018

T4 : à paraitre début 2020

Pourquoi la bande dessinée ?

Issu d’une famille modeste, nous ne partions jamais en vacances et il fallait bien occuper son temps autrement que devant la télé. J’aimais lire, faire du vélo, mais chaque activité, aussi agréable soit-elle, ne peut seule remplir une journée sans provoquer de lassitude.

Attiré par le dessin, je recopiais mes héros préférés. Ceux des dessins animés (Goldorak, Ulysse 31, La bataille des planètes), mais aussi ceux des BD que je lisais dans les périodiques tels que Pif Gadget, le journal de Mickey et surtout les BD bon marché des éditions LUG (Strange, Titan, Nova, etc.) et leur univers de supers-héros.

Malheureusement, quand je voulais m’émanciper de ces références, je me trouvais confronté au syndrome de la page blanche.

 Que dessiner quand tout est possible ???

  C’est alors que je me suis dit : « Mais pourquoi ne pas inventer mes propres héros et mes propres histoires ? » Ainsi, le dessin viendrait plus naturellement car il serait au service d’une histoire.

 C’est ainsi que j’ai commencé mes premières BD vers 13/14 ans, mais sans aucune formation de scénariste (et ne connaissant alors pas la notion de story-board) mes histoires s’enlisaient et ne finissaient jamais.

 Jusqu’à ce que vers 17/18 ans, je me lance dans des histoires courtes (4 à 6 pages) le plus souvent sans parole afin que le lecteur (qui n’existait pas encore) aie sa liberté d’interprétation mais en étant obligé de fouiller le dessin du regard pour une meilleurs compréhension de mes intentions d’auteur.

N’ayant pu entrer dans une école de BD (il n’en existait pas encore à l’époque) il a fallu choisir une orientation et je suis entré dans une école d’arts appliqués qui m’a permis de survoler toutes les disciplines qui composait cette branche (dessin, gravure, photo, perspective, histoire de l’art, etc.). Puis de fil en aiguille, je me suis orienté vers l’architecture, travaillant chaque vacance scolaire pour compléter ma bourse et financer les études que mes parents ne pouvaient me payer.

 Diplôme en poche, il m’a fallu effectuer le service militaire que j’avais repoussé au maximum (heureusement j’ai fait un service civil et celui-ci venait d’être réduit de 12 à 10 mois) qui a son issu, m’a procure mon premier emploi en CDI.

 C’est dire que j’ai du faire une croix sur la BD malgré une petite tentative qui n’a pu aboutir faute de temps.

 Mais à chaque malheur, bonheur est bon : la maladie m’a donné plus de temps libre que j’en aurai espéré et bon gré, mal gré,  j’ai décidé de réaliser mon rêve d’enfant.

 Les thèmes :

 Le cycle de l’étoile miraculeuse se situe sur une terre alternative afin de laisser libre cour à mon inspiration et à ma créativité sans devoir me documenter à l’excès pour être cohérent avec une période historique donnée.

 Ainsi, je peux, à mon gré, traiter de tous les sujets qui me touchent :

-          La laïcité

 -          La tolérance sexuelle

 -          La justice

 -          La liberté d’être et de conscience

 -          La solidarité

 -          L’amour, l’amitié, la fidélité

 -          Etc.

Le tout enrobé d’un brin d’aventure et de dépaysement.

 Pourquoi évoquer le continent Africain et l’Asie Mineure ?

Car avant mes problèmes de santé, j’ai constitué pu constituer au gré de mes voyages, une vaste base de données photographiques qui m’a souvent nourri l’inspiration.

Et pour accentuer cette référence, j’ai choisi pour le titre, une police de caractère inspirée de l’Arabe.

LE premier tome de l’histoire, qui était prévu unique, peut se lire seul mais laisse quelques éléments en suspend dont je donne les clés dans le tome 2 formant ainsi un premier cycle.

Le tome 3 (et le tome 4 à venir pour 2020), forment un second cycle qui revient sur l’origine de de mes deux personnages principaux dont le potentiel était loin d’avoir été exploité et peuvent se lire indépendamment.

Synopsis des trois tomes du cycle :

 T1 : la légende des trois amants

 Sur une Terre alternative, quelque part dans le Hara, du côté de Ton-Bouc, se répand l’écho de l’apparition d’une nouvelle étoile dans le ciel nocturne. Sa particularité : elle ne se révèle pas à tous et serait miraculeuse. Affabulation, manipulation, hérésie ; la nouvelle interpelle l’université théologique de Stan-Bull qui ne peut tolérer de telles rumeurs sans vérification.

Bra-Him Ben Salim, Omelad astronome aux thèses controversées, est envoyé enquêter sur ce « miracle » afin de déterminer s’il ne s’agit pas d’une supercherie destinée à déstabiliser, détourner et abuser les croyants de la Vraie Foi. Mais, si cette enquête n’était qu’un prétexte pour l’éliminer ?

T2 : Le souffle du démon

 Bra-Him devenu Yaas-Him dans « la légende des trois amants » à pour mission de régénérer le Champcryst et de renverser l’université corrompue. Capturé par la garde noire de l’université théologique de Stan-Bull, il est crucifié pour hérésie. A ses pieds, on découvre, une Wal-Ham implorante.

 Simultanément un personnage qui nous semble familier se suicide et une étrange concertation du triumvirat se déroule dans une université désertée.

 Que s’est-il passé ?

 Remontons au moment où Yass-Him retrouve les caravaniers pour comprendre l’enchainement des évènements qui ont conduit à cette situation inattendue.

 T3 : Wal-Ham, origines d’une sorcière

 Dans une forêt reculée, isolée du monde, vit Wal-Ham. Élevée en recluse par sa grand-mère, une sorcière, elle n’a jamais eu de contact avec l’extérieur. Quand un jour, elle se retrouve prise au piège par des jeunes d’un village voisin qui tentent de l’abuser. Sa grand-mère intervient à temps, mais meure peu après sans avoir fini de lui transmettre son savoir. Sa vie bascule quand elle rencontre une albinos en mauvaise posture.

 T4 : Bra-Him, la malédiction du prophète

 Bra-Him, chétif adolescent, est la victime perpétuelle du harcèlement de ses camarades. Timide et peu sportif, son insatiable curiosité intellectuelle le pousse à s’isoler le plus possible pour observer et tenter de comprendre la nature qui l’entoure. Mais au retour d’une escapade, il découvre que son village a été attaqué et détruit ; ses habitants massacrés et qu’il est le seul survivant.

 Comment survivre quand on n’a jamais été taillé pour ça ?

 Découvrez comment, malgré ce mauvais départ, il est devenu celui qui combattra le retour de Kréath, un démon venu du fond des âges.

Horiya Marie

Qui tu es ?

Je m’appelle Horiya MARIE j’ai 58 ans. Mes passions sont : l’écriture, les travaux manuels et l’aquarelle. Je suis Assistante d’éducation scolaire auprès d’enfants en situation de handicap.

 Comment t'es venue l'envie d’écrire ?

 Depuis les années lycée j’ai écrit des petits poèmes sur des carnets, l’expérience du crochet et du tricot m’a amené à créer des modèles que j’ai retranscris sur papier et ainsi en faire profiter à mes amies.

 Ce qui t’inspire ?

 Tout ce qui m’entoure m’inspire énormément. Je suis sans cesse en train de griffonner sur un cahier et toutes mes notes sont de précieux supports.

 Le sujet de tes écrits ?

 Il y a plusieurs sujets ; les loisirs créatifs, et la mise en ligne de mon site internet. http://1001faconsavechoriya.free.fr/ m’ont permis de créer les 2 premiers livres.

 Le 2ème sujet est un essai sur l’accompagnement des élèves en situation de handicap. J’ai commencé ce merveilleux métier en Décembre 2005.

 A travers mon écrit j’ai retracé mes journées passées auprès de plusieurs de ces élèves. « De formidables élèves » raconte leur quotidien.

Tout est VRAI J’ai surtout créé du lien, socialisé ces enfants chétifs, malhabiles et parfois violents…..cependant que c’est FORMIDABLE. Il n’y a point de différence entre tous ces élèves et nous apprenons beaucoup d’eux.

 Tes écrits à venir,

J’écris des nouvelles.

Ton actualité à venir salon, conférences, sorties éditoriales...

- Participation à mon premier salon de Maisons-Alfort le 13 avril 2018.

- Vente de mes livres au marché de l’auto-édition au salon des douceurs 6 place Ernest Guérin à SAINT JEAN DE MONTS le

samedi 4 mai 2019.

Dédicaces de cet été au

- Salon des douceurs 6 place Ernest Guérin à SAINT JEAN DE MONTS  les 6 juillet et 3 août.

- Maison de la presse 48 rue du Général de Gaulle à SAINT JEAN DE MONTS

les 13 et 20 Juillet.

Jozye Mamynou

Si vous avez gardé un peu de votre âme d’enfant et votre part de rêve, entrez dans l’univers de Jozye. Son imagination n’a aucune limite car elle doit certainement être la fille naturelle d’un farfadet et d’une fée. Auteure pour enfants, elle illustre ces contes avec ses propres personnages 3d qu’elle façonne amoureusement pour qu’il prenne vie dans ses histoires magiques. Du rêve dans un monde de brutes.

Qui tu es :

Petite fille j’ai vécu dans une école avec mes 2 sœurs, ou notre maman était gardienne. Mariée 2 enfants et 9 petits enfants. Je suis à la retraite depuis juillet de l’année dernière. J’ai été chanteuse amateure, fait du piano et de la photographie. Maintenant j’écris des contes pour enfants dont j’illustre moi-même les images en 3d. ce qui me permet de plonger dans un univers imaginaire et garder une part de rêve. Je suis une adulte avec une âme de petite fille.

Comment t’es venu l’envie d’écrire.

Tout simplement avec une petite fille de 11 ans qui est venue avec sa mamye ou je travaillais. Elle s’ennuyait, aussi je lui ai proposé une phrase, et je lui ai demandé d’inventer une histoire. Quand elle est partie, elle me l’a rendue. Elle n’était pas finie, mais son histoire était intéressante. Ça m’a donné l’envie de continuer en faisant quelques petites modifications, et en appelant un des petits personnages avec son nom. La Princesse du temps était née. Depuis je continue………..

Ce qui t’inspire

Les forêts ou j’imagine des lutins ou elfes en train de voleter et jouer. Les enfants, quand je parle avec eux et que je les regarde jouer. Les animaux, la nature.

Le sujet de tes écrits

Les contes ou histoires pour enfants, la magie, les mondes féériques et fantaisistes

Tes écrits à venir

-      Nolan et le voleur de nuages qui sortira en Septembre

-      Les histoires de Mamynou, livre de contes ou il y aura plusieurs petites histoires.

Marie Ferplan

Qui tu es ?

Marie Ferplan auteur en littérature jeunesse depuis plus de cinq. Née en 1963 en région parisienne, passionnée de littérature, elle se lance dans l’écriture en 2013 et publie son premier conte « Zakari et les légumes » aux Éditions Amalthée. Le deuxième  « Les Chatons d’Alphonsine »  en 2014. Aimant la poésie, elle participe avec d’autres auteurs au recueil la même année « Le Souffle du Monde 11 ». Sa dernière parution fut en 2015, une pièce de théâtre pour enfants « La lune et le soleil ». Un nouveau défi pour 2018, une nouvelle histoire à raconter aux lecteurs, un premier tome  « Mistigri « la petite souris »  aux  Éditions Sydney Laurent.

Comment t'es venu l'envie d’écrire ?

Depuis l’âge de 16 ans, je me passionnais pour l’écriture de la poésie.    

Ce qui t’inspire ?

La famille, la nature, les animaux, les gens. J’aime l’histoire, les documentaires. Les contes fantastiques et les polars.

 
Le sujet de tes écrits ?

Des contes, une pièce de théâtre pour enfants et un recueil de poésie.

Tes écrits à venir ?

Le 2^ème tome des chatons d’Alphonsine et certainement Zakari et les légumes, mon premier livre

Ton actualité à venir salon conférences sorties éditoriales...

-   CULTURA le 18/05/2019 à Dammaryes les Lys

-   Salon du livre à St Florentin (89) le 02/06/2019

-   SUPER U (45) le 20/07/2019

-   Salon du livre à Dammarie en Puisaye (89) le 21/07/2019

-   Fête du livre au château de Jully (89) le 11/08/2019

-   Salon du livre à Fameck (57) le 29/09/2019

-   Salon du livre à Moret sur Loing le 06/10/2019

-   Salon du livre à Echarcon le 12/10/2019

-   Salon du livre à Aaillant sur Milleron (45) le 13/10/2019

  Yves Gillet

1. 1.     Qui suis-je ?

Je suis né à Dijon en Côte d’Or où j’ai poursuivi mes études au lycée Carnot. Ensuite, je suis parti travailler à la raffinerie de pétrole de Martigues. Ce passé de mes jeunes années se retrouvera dans mes premiers romans qui se situent en Bourgogne ou en Provence. Le reste de ma carrière se déroulera à Paris où je traverserai des fonctions diverses, depuis la technique et les études économiques jusqu’aux ressources humaines.

1. 2.     Comment m’est venue l’envie d’écrire ? 

Plusieurs projets m’ont accompagné pendant ma vie active, projets non réalisés par manque de disponibilité, qui se sont naturellement imposés à l’heure de la retraite. Parmi eux, une sorte de défi que je me suis lancé, celui de mener à bien l’écriture d’un roman policier. Longtemps lecteur moi-même, j’ai eu envie de passer de l’autre côté de la plume, et je me suis laissé prendre au jeu. Je n’avais pas prévu d’éditer ma production mais, de fil en aiguille, je me suis laissé entraîner dans un engrenage dont le résultat se retrouve dans sept polars édités à ce jour.

1. 3.     Qu’est-ce qui m’inspire ?

Avant même de me laisser séduire par l’écriture elle-même, ma première ambition était de construire des scénarios où le détective doit faire appel à ses facultés d’observation et à des raisonnements logiques. Soyons clair, parmi les modèles qui ont enchanté ma jeunesse, figurent en bonne place Agatha Christie et son cher Hercule Poirot. Le règne des fameuses petites cellules grises. Bien sûr, mes romans comportent des victimes, mais mon souci n’est pas de présenter l’action qui les abat, ni la violence ni le sang, mais le cheminement de l’enquêteur jusqu’à la résolution de l’énigme. D’ailleurs, aujourd’hui, je vis l’écriture d’un roman comme un face-à-face avec le lecteur, une sorte de partie d’échecs, une course de vitesse entre mon inspecteur et le lecteur pour arriver à coincer le meurtrier. Une véritable partie de plaisir !

Mes livres ne contiennent aucun message, aucune révélation, aucune thèse à faire partager. Non, ils ne cherchent, en ces temps où la lecture fait de moins en moins partie des loisirs évidents, qu’à procurer au lecteur un instant de pur plaisir égal à celui que j’ai éprouvé à écrire.

1. 4.     Et l’avenir ?  

J’ai la chance de n’attendre ni la fortune ni la gloire de mes romans, donc je peux continuer dans la même voie, sans contrainte ni stress. Encouragé en cela par quelques lecteurs proches et assidus qui ont eu le bon goût d’apprécier mes enquêtes et l’influence suffisante pour me faire conserver le même enquêteur dans toutes ces aventures. Bien entendu, je serais heureux si mes romans élargissaient leur notoriété et c’est pour cela que je participe à quelques salons du livre ou à quelques séances de dédicaces. Mais je me suis plus investi dans l’écriture que dans la vente et ces actions sont plutôt rares. Elle se limitent d’ailleurs à des zones proches, l’Essonne où je réside, ou la Bourgogne où se trouve une bonne partie de ma famille.

J’ai déjà édité sept polars, dont six ont le même enquêteur, prenant leur place dans des lieux que j’ai aimés, Dijon, Martigues ou Collioure pour le dernier. Les suivants auront pour cadre ma ville adoptive de Verrières le Buisson, le petit port breton d’Erquy et une nouvelle fois Dijon. Toujours avec l’inspecteur Patrick Derval dans le rôle de l’enquêteur adepte des petites cellules grises du fameux petit détective belge. 

En attente de plus d'informations

 Chandler charles

auteur , je présente deux livres à, ce salon

1-Sous Vichy, un enfant antillais dans les pas d'une femme juive.

2-Pas de pitié pour les assassins.

       Monique BACONNET

Je m'appelle Monique BACONNET, je viens d'écrire un livre "La fugue" paru début mars aux éditions Sydney Laurent (photos jointes) qui est un récit autobiographique.

D’où me vient l’inspiration

J'ai toujours plus ou moins écrit, des pensées, des poèmes, que je gardais pour moi, c'était mon mode d'expression et puis avançant dans l'âge, j'ai eu envie de raconter et de partager les souvenirs les plus marquants de mon enfance qui a été quelque peu particulière, pour m'en libérer peut-être, bien que cela soit impossible, une enfance reste ancrée à jamais en soi, elle est le pilier de la vie future.

Son empreinte a été tellement forte qu'elle m'a conduite sur des chemins tortueux que je n'aurais certainement jamais empruntés si elle avait été différente. Cependant, je ne la regrette pas, ni la rejette au contraire elle m'a permis d'être plus forte face à l'adversité, qui parfois vous joue des tours, comme cette maladie que j'ai dû affronter plus tard, mais c'est un autre combat, gagné toutefois, une autre histoire de vie, un autre livre, que je suis en train d'écrire.

   Anna Oven

QUI SUIS-JE ?

J’écris sous pseudo Anna Oven comme un clin d’œil à mon nom d’épouse. D’origine catalane (née à côté de Perpignan) j’ai toujours travaillé à la Banque à Paris. Veuve en 2012, alors que j’étais en retraite et que mon mari et moi avions plein de projets, je n’arrivais pas à reprendre une vie « normale » ,  j’ai décidé de mettre à profit mes insomnies pour confier à mon ordinateur mes élucubrations, ayant toujours eu une imagination débordante.

 CE QUI M' INSPIRE

Mon premier livre celui qui est édité « Toi Plus Mois égale UN » est né de la narration d’une histoire vraie lorsque j’avais 20 ans, à laquelle j’ai imaginé donner une suite quarante ans plus tard. Il évoque donc l’amour des séniors », alors même que personnellement je ne pensais pas que la libido résiste au temps….. C’est un livre très personnel, même si la situation des héros est une pure invention, les anecdotes sont toutes véridiques, j’avais besoin de me livrer, le fait d’être publiée ne m’a pas fait modifier cette mise à nu….

 Au départ l’écriture a été une soupape, une échappatoire, mais au fur et à mesure que je me relisais pour me corriger, je me suis prise à aimer l’histoire et cette façon de mélanger le vrai au faux. J’ai d’autant pris du plaisir à l’écriture que j’ai toujours su raconter des histoires : mes amies me comparaient à Muriel Robin, toute proportions gardées…..pour la facilité à narrer des situations et les rendre amusantes…On me dit que j’écris comme je suis et dans la vie je suis assez drôle….même si mon livre est parfois émouvant, parfois aussi un peu (beaucoup) léger !!!

MES ECRITS

Depuis j’ai écrit une autre histoire, j’ai donc un manuscrit titré « On n’attache pas un Papillon » qui attend le moment propice pour être confié à la lecture de professionnels, mes proches l’ayant « validé ».

J’ai un autre troisième roman à terminer, « Ma Léa », il me manque un ressort dramatique pour l’étoffer….

Je ne sais écrire des romans d’amour, j’ai entamé l’écriture d’un nouveau roman qui s’intitulera « Piégée, ou Le Mirage des sites de rencontre », fruit d’une expérience personnelle.

J’aimerais que mon livre trouve un lectorat, car il s’adresse à un public d’âge « mur », même si des personnes plus jeunes, l’ont aimé… Je crois que c’est une histoire pleine d’espoir, qui personnellement m’a permis de me sentir à nouveau vivante.J’aimerais être lue, non pas pour être reconnue, même si cela doit être agréable, mais pour transmettre cette envie de vivre, d’aimer, pour faire tomber des interdits, des idées reçues, comme celles que j’avais moi-même à propos de moi-même ou de personnes dites « âgées ». Je crois que ce roman qui se lit facilement est comme un bonbon d’espoir.